Le ministère de l'intérieur affirme que :

  • Macron : 23,72 % des suffrages
  • Le Pen : 21,4 % des suffrages
  • Fillon : 19,92 % des suffrages
  • Mélenchon : 19,23 % des suffrages
  • Hamon : 5,6 % des suffrages

On entend déjà au loin, les appels d'un vote concernant le « Front Républicain ». Pardon ? Vous avez dit Front Républicain ? Le Front Républicain ne fonctionne plus et ne marche plus, alors la question de la République passera par l'opposition entre le « camp des travailleurs » et celui du « patronat ».

Marine Le Pen, ou Emmanuel Macron se sont les candidats d'une bourgeoisie rance, d'une vision patronale hybride ou de projets mortifères pour les travailleurs.

Si le vote de leur candidat ne signifie pas pour autant une majorité à l'Assemblée Nationale, avec l'addition de l'ensemble des votes conservateurs et libéraux, Emmanuel Macron possède une majorité très large pour faire sa politique à coup d'ordonnance et le fameux Blitzkrieg que rêvait Fillon, mais avec une vision « progressiste ».

Cela signifie que le camp du travail subira une pression inestimable de la part du camp du patronat qui entend poursuivre les politiques issues de « la Loi El-Khomri ».

Cela permet de prévenir que le « camp du travail » doit se préparer dès maintenant à un mouvement social d'une ampleur importante. En effet, le programme de Macron, c'est le programme du chômage, des actionnaires et la paupérisation généralisée, comme celui de Fillon.

Emmanuel Macron, c'est le mixte entre François Hollande et François Fillon. Une politique de la terre brûlée qui correspond aux exigences du MEDEF. En conséquence, il faut comprendre que le néo-libéralisme est les conséquences du fascisme. Macron est le meilleur vote pour Marine Le Pen.

Il existe un lien entre le Néo-libéralisme et le fascisme. Le fascisme mène toujours une politique néo-libérale, comme on l'a vu sous Pinochet.